04 50 45 54 60

 

MISE EN PAGE (3.12)
Glisser-déposer une image dans la mise en page

On peut plus facilement intégrer une image à la mise en page via un simple glisser/déposer

EDITION D’OBJETS (3.14)
Nouveaux modes d’accrochage

On peut désormais s’accrocher sur le centroïde ou sur le milieu d’un segment

FONCTIONALITES TEMPORELLES (3.14)

Apparition de fonctionnalités temporelles relatives aux couches. Un contrôleur temporel permet de montrer l’évolution d’un phénomène sur une plage de temps (exemple : localisation des séismes)

 

EDITION D’OBJET (3.14)
Accrochage sur la géométrie en cours

On peut désormais s’accrocher sur la géométrie que l’on est en train de créer

PROJETS (3.14)
Glisser-déposer une couche entre 2 projets

On peut ajouter une couche à partir d’un autre projet en faisant simplement un glisser/déposer entre les 2 panneaux couche. Cette opération conserve les paramètre de style !

INTERFACE UTILISATEUR (3.16)
Se localiser par coordonnées via la barre de recherche

L’utilisateur peut facilement saisir un couple de coordonnées pour s’y déplacer, dans le système de projection WGS 84 ou celui de la carte. Il suffit de taper la coordonnées dans la boite de recherche, en bas à gauche de l’interface de QGIS.

INTERFACE UTILISATEUR (3.16)
Récupérer les coordonnées depuis le canevas de la carte

L’utilisateur peut facilement récupérer les coordonnées d’un point du canevas, dans le système de projection de son choix, via un menu contextuel

SYMBOLOGIE (3.16)
Des options pour modifier dynamiquement le motif des tirets

Ces options permettent d’adapter le tracé des tirets pour mieux visualiser le début et la fin, mais aussi les angles vifs intermédiaires.

SYMBOLOGIE (3.16)
Gestionnaire de styles 3D

Le gestionnaire de styles reçoit un nouvel onglet pour y enregistrer des symboles 3D et permettre de facilement les réutiliser

ETIQUETAGE (3.16)
Option de position des étiquettes le long de lignes

Pour étiqueter le long des lignes, on peut désormais choisir l’emplacement préférentiel : au début, au milieu, à la fin, ou encore personnalisé (pourcentage)

MISE EN PAGE (3.16)
Cartes rondes, triangulaires ou rectangulaires

Dans la mise en page, on peut utiliser un « pochoir » pour découper une carte par un triangle, un rond, ou encore un rectangle aux coins arrondis.

MISE EN PAGE (3.16)
Atlas avec découpe des objets extérieurs

Dans la mise en page, le paramétrage d’Atlas permet de découper les objets situés en dehors de l’entité d’Atlas en cours pour ne conserver que la partie située à l’intérieur. On a le choix des couches à découper.

EXPRESSIONS (3.16)
Ajout de fonctions d’évaluation spatiale par rapport à une autre couche

Ces fonctionnalités de recouvrement d’objets – overlay – peuvent être utilisées dans des expressions pour obtenir un résultat spatial pour chaque objet d’une 1ère couche, en lien avec une 2ème couche.

Permet de répondre à des questions comme :

  • Intersecte-t-il l’autre couche ?
  • Nombre d’éléments de l’autre couche croisés ?
  • Valeur d’attribut de l’objet le plus proche ? etc.

Cas exemple 1
On pourra récupérer la zone où se trouve un objet, puis affecter automatiquement une étiquette et un symbole particulier à cet objet.

 

Cas exemple 2
On pourra compter automatiquement le nombre d’objets présents dans une zone donnée, puis l’afficher en tant qu’étiquette.

 

Cas exemple 3
Sur des données de réseaux, cette fonction permet de voir si la connectivité est assurée entre les objets ; on peut parler ici de topologie objet inter-couche.

Cas exemple 1 : interaction entre un objet ponctuel et un objet surfacique, qui récupére automiquement l’attribut du milieu dans lequel il est plongé (cf. Archimède ?)

Cas exemple 2 : compter le nombre d’objets présents à l’intérieur des objets d’une autre couche.

Cas exemple 3 : connectivité des réseaux – topologie inter-couche

reseau topologique

NUMERISATION (3.16)
Numérisation avec des courbes

On peut maintenant dessiner (ou découper) avec des courbes, ou bien en alternant tracé classique et tracé courbes.

Le format shapefile convertira ensuite la courbe en une suite de points.
D’autres formats tels, le geopackage, permettent de conserver le dessin en type « courbe », stockant uniquement le point de départ et d’arrivée.